▌Fiche de Présentation ;Nom: Ananke.
Prénom: Alexei Juni.
Sexe: Féminin.
Âge: 17 ans.
Date de naissance: o1 Janvier.
Lieu de naissance: Vienne - Autriche.
Date d’arrivée sur Ataraxia: 1 mai 2o1o.
Clan : Adratée
Capacité & limite: L’eau sous forme liquide et gazeux, dans une quantité d’environ 5 litres. Elle peux pour l'instant:
Changer la vapeur en eau (elle ne peut le faire au dela de 10 mètres, et doit avoir une ligne de vue).
Manipuler jusqu'à un demi litre d'eau liquide par simple pensée (mais ce demi litre doit être un seul et unique ensemble, pas deux ensemble de 20 cl par exemple)
Manipuler jusqu'à 5 litre mais elle doit employer ses mains(qui doivent être libre) et se concentrer pour cela.
La manipulation nécessite une ligne de vue, et ne peux excéder 50 mètres (la précision des gestes diminuant bien évidement avec la distance, globalement ses mouvements sont précis en dessous de 10 mètres, approximative entre 10 et 25 mètre (décalage de 20-40 cm par rapport à ce qu'elle vise), et hasardeuse au delà des 25(décalage de 70cm à 1 mètres)).
Elle peut manipuler une masse d'un litre d'eau pendant 15 mins environs ce temps étant proportionnel au nombre de litre manipulés(enlever 3 min par litre au dessus du premier) et aussi au nombre de masse d'eau différente(diviser par le nombre de masse créé (maximum deux de toute manières): ainsi 4 litre d'eau pourront être manipulé pendant 6 mins cependant si ils sont divisé en 2 masse de 2 litres ils pourront l'être 3 mins. A noter qu'elle s épuise au au fur et à mesure de l'utilisation et que de se fait elle perd en précision. Ainsi a partir du moment ou elle se trouve dans un état qu'elle ne peux manier plus de 2 minutes les décalage dû à la distance sont doublé (ils passent de 10 à 30 cm en dessous de 10 mètres, 40 à 80 cm au dessus de 10, 1.5 à 2 mètres au dessus de 25).
Les attaques faites avec de l'eau haute pression (du style lame/lance d'eau) n'excèdent pas le tranchant d'une lame de pierre mal aiguisé, sauf si elle se concentre une vingtaine de seconde pour les préparer auquel cas elle sont aussi tranchante qu'une épée de métal simple. Cependant pour les premières elle a besoin de 2 litres d'eau minimum, et de 4 pour la seconde.
La vitesse de l'eau ne peut excéder 50Km/h.
Note: Elle ne détecte PAS l'eau.
Groupe : Voyageur - Adratée.
▌Caractéristiques;Description physique: Sa voix est légèrement grave, pourtant on devine une puissance vocale lorsqu’on se rend compte qu’on peut l’entendre parler clairement même au beau milieu d’un foule. Lorsqu’elle chante, elle peut descendre et monter de deux octaves de façon mélodieuse ; oui, Alexeï est une musicienne. Ses doigts longs, fins, les ongles courts montrent bien qu’elle manie d’un instrument, et une simple poignée de main peut suffire pour se rendre compte de la fermeté de sa poigne. Avant son arrivée sur Ataraxia, la jeune fille avait une apparence de poupée, elle semblait frêle par sa peau claire et velouté dû au fait qu’elle passait des longues heures à rester enfermer, en tête à tête avec ses bouquins ou bien tout simplement un écran d’ordinateur. Du haut de ses un mètre soixante-douze, elle possède une silhouette svelte, élancée, plutôt jolie à regarder, mais ce corps trop maigre ne possède aucune force si ce n’est de la souplesse et de l’endurance ; pourtant elle a essayé divers sports et les seuls qu’elle a appréciés sont le basket et le volley, mais elle a arrêté au bout de deux ans et toutes les excuses étaient bonnes. Alexeï possède de magnifiques yeux, ses iris sont d’un bleu semblable à celui du ciel, la plupart du temps son regard se fait lointain mais parfois on peut y voir des lueurs de malices, de joie d’impatience, on peut lire à travers ses uniques fenêtres les reflets de son âme, enfin, si seulement elle ne portait pas ces stupides lunettes. Quand elle porte sa monture au nez, elle semble différente, plus confiante, plus mature, c’est plutôt difficile à décrire. La demoiselle aux iris saphir a un joli minois qui n’a gardé presque aucune trace de ses rondeurs enfantines, pourtant d’une certaine façon si, à cause de cette naïveté et cette innocence qui sont restés dans son regard. Alexeï ne sourit presque jamais, elle garde (tant bien que mal) une expression complètement fermée, distante, les lèvres légèrement pincés comme si elle était toujours contrariée, alors qu’en vérité elle ne sait pas comment se comporter. Quand ses lèvres s’étirent et que se dessine alors un sourire sur son visage, on peut voir des dents blanches, alignées et lorsqu’elle rit on peut sentir un souffle frais mentholé. Il est facile de lire le visage d’Alexeï, contrairement à d’autre, ses sentiments, émotions se reflètent sur son visage. Un visage encadré par une chevelure dense, souple et légèrement ondulé. Ses cheveux étaient châtains foncés, pourtant en arrivant sur Ataraxia ils ont commencés à changer de couleur, à devenir au fil des jours plus rouge.
Alexeï n’a jamais était bien compliqué dans son style vestimentaire, elle prend généralement tout ce qu’il lui tombe sous la main et tout lui va. Ses cheveux ne sont jamais attachés et s’ils le sont c’est en queue de cheval. Elle porte en permanence un pendentif autour de son cou, ainsi que trois bagues dont deux sont identiques : un sur son index droit et un autre sur son annuaire droit, et le dernier autour de son index gauche. La jeune femme n’est pas le genre de personne à se maquiller, se rincer le visage lui suffit amplement pour être présentable.
Particularité physique: Aucun.
Armes: //
Description moral: Alexeï ne dit jamais ce qu’elle pense réellement, préférant conserver une bonne image –ou mauvaise- dans l’esprit des gens selon ses envies. Voyez-vous ce n’est pas qu’elle aime mentir particulièrement, c’est juste qu’elle essaie d’éviter l’enchaînement des questions qu’elle donne alors une réponse qui satisfait le locuteur ainsi elle ne piquera point la curiosité de ce dernier. Ce qui est un vilain défaut lorsqu’on sait que ce dernier est d’une curiosité sans borne. Elle possède une grande mémoire, elle enregistre tout, le moindre détail ne lui échappe pas, tout restent à jamais gravés dans sa mémoire aussi bien auditivement que visuellement. La jeune femme a une mémoire très sélective, ainsi elle peut trier ce qu’elle retient. Si elle est ordonnée intérieurement, extérieurement aussi… Quoique, cela dépend des points de chacun. Car le désordre est considéré par sa personne comme ordonné du moment où elle sait où se trouve précisément ce qu’elle « range », mais pour d’autre, on peut dire que c’est la catastrophe. Cette négligence est la raison d’un tel désordre, mais s’elle se donnait du temps, et s’elle en avait l’envie, elle pourrait être très bien devenir dés lors une maniaque du rangement (chose qui arrive très rarement). Alexeï est une enfant de doué, c’est ainsi que la qualifie son oncle, mais en réalité, c’est du à sa persévérance, à son travail qu’elle a pu mériter ce rang. Depuis son plus jeune âge, elle a été ce genre d’enfant à vouloir persévérer et réussir dans ce qu’elle entreprenait, autodidacte elle demandait rarement de l’aide par fierté. Pourtant c’est une fille très obstinée et entêtée, lorsqu’on la force à faire quelque chose, elle n’y met que de la mauvaise foi et ne réussit à rien.
C’est une demoiselle lunatique, donnant l’impression de vivre dans son propre monde ; elle est étrange, et peut se monter agaçante, juste pour se protéger, c’est une demoiselle un peu trouillarde, qui manque parfois cruellement de confiance en elle, en ses capacité. Elle est maladroite pour exprimer ses pensées ou ses sentiments, et cela l’exaspère. Il a des jours où elle entend une petite voix qui lui dit tout bas de mettre un terme à tout cela, et cette petite voix s’est beaucoup exprimé depuis son arrivée sur Ataraxia. En fait, ce nouveau monde la perturbe, elle perd ses repères.
Qualités: Calme, réfléchie, intelligente, douce, compréhensive, douée, autodidacte…
Défauts: Instable, hypocrite, têtue, manque de confiance, maladroite, froide, lunatique…
▌Relations & autres ;Rêves, ambitions: (provisoire)
Relations: (Famille, amis, ennemis, indiquer les relations de votre personnages avec une courte description)
Que pense votre personnage au sujet de ;La famille royale : ...
Les différents clans : ...
▌Passé, présent, une histoire;Si seulement elle avait su que les choses auraient tournés de cette façon, elle était certaine qu’elle aurait de son mieux pour essayer de ne rien regretter, pourtant, il était trop tard. Elle se retrouvait face à son impuissance, son incapacité à pouvoir prédire, voir l’avenir, ou bien même sauver le présent, la laissait sans voix. A cet instant là, son regard était vide, elle venait comprendre le sens de « perdre ». Défilait sous ses yeux, les souvenirs qu’elle avait encore de lui, plus elle se souvenait, plus les traits de son visage s’effilochaient, plus les souvenirs s’imprégnait de la mélancolie actuelle de son esprit. Si seulement elle avait pu prendre conscience plus vite de ce qu’il allait se passer, elle ne serait pas là à se lamenter, à se détruire. Ses yeux s’embuaient, une larme coula lentement sur les sillions de ses joues creuses, avant qu’elle ne s’en rendit compte, la perle amère roula et à ce moment précis, la voix du chœur se leva tandis que tous levait la tête vers le ciel.
Assise au piano, elle commençait le requiem.
Le temps perdu.
Orpheline, un mot qui lui faisait mal, une blessure profonde qui n’avait que très peu d’espoir de se refermer un jour. Un mot qui était une promesse de solitude, d’abandon. Alexeï n’avait que cinq ans lorsqu’elle apprit malgré elle l’existence de ce mot, en dernière section de maternelle, cela désignait le fait qu’il n’y aurait plus personne qui viendrait la chercher lorsque la cloche sonnera, personne pour lui tenir la main durant le trajet du retour, personne pour l’accueillir à la maison, en fait, personne pour s’occuper d’elle. Pendant longtemps, elle se disait juste que ses parents étaient partis faire un long voyage, et qu’ils avaient oubliés de le lui dire.
Ce jour là, ce fut son oncle qui vint la chercher, il ne prononça que son prénom alors que les autres mères murmuraient ce mot dur. Alexeï ne posa pas de question, et suivit avec docilité son oncle jusqu’à la porte de la maison, une fois devant elle s’arrêta et s’assit à coter
-J’attends Papa et Maman, ils m’ont promis d’aller voir l’aquarium géant.
En prononçant cette phrase, elle vit alors l’expression peiné de son oncle, il avait un regard bienveillant, et souriait tristement. A cet instant, elle pensa que son oncle était beau, par gentillesse elle se poussa légèrement et invita son oncle à prendre place. Une enfant innocente, il ne savait pas comment lui expliquer ce qui se passait, cela lui échappait, les mots se heurtaient, aucun son ne voulait traverser le seuil de ses lèvres. C’était un crime de lui dire cela, le destin était un juge bien trop cruel. La seule chose qu’il fit fut de poser sa main sur le haut de la tête délicate de sa nièce d’ébouriffer d’un geste tendre ses cheveux. Il n’aimait pas ce regard pur que possédait sa petite fille, et pourtant il devait le lui dire, le rêve devait s’achever.
-Comme ça, s’ils savent que tu attendes, ils viendront encore plus vite n’es-ce pas tonton ?
-Qui sait, tu es une brave fille.
***
Ils avaient tout simplement disparu au cours d’un crash aérien. Boum, puis plus rien.
C’était l’image que se faisait Alexeï de la mort de ses parents. Une image naïve, enfantine qu’elle avait gardé, peut-être qu’il valait mieux les voir de cette façon. Cela faisait quatre années qu’elle vivait sous la tutelle de son oncle, un homme lunatique. Il était étrange, on ne savait jamais à quoi il pensait, ni même ce qu’il voulait ou aimait. Il n’avait pas d’humeur, il faisait preuve d’un calme imperturbable, rien semblait pouvoir faire vaciller ce masque. C’était un ancien joueur de basket, à cause d’une blessure, il avait très peu de chance de pouvoir retoucher à une balle, c’est pour cela qu’il décida de reprendre cette passion qu’il avait délaissé ; la musique. C’était à travers un instrument qu’oncle Nicolas s’exprimait. Il ne parlait jamais, son visage ne trahissait jamais ses émotions, pourtant, lorsqu’il jouait d’un instrument, il était aisé de savoir s’il était en colère, heureux, ou bien triste. En vivant avec lui, Alexeï avait appris après mainte observation, un autre moyen de desceller cela, inconsciemment, lorsqu’il était envahi d’un sentiment fort comme la colère, le stress, le gêne, son pied ou sa main battait un tempo rapide, vif en restant régulier, alors que le contraire se produisait lorsqu’il était triste, mélancolique.
Si la demoiselle n’avait pas pris conscience de cela, elle n’aurait pas pu remarquer le trouble qui envahissait son oncle, plus la grande aiguille allait faire le tour du cadran, plus ce dernier se montrait impatient. Rien ne montrait cela, il était parfaitement droit sur sa chaise, assis en train de lire le journal. En temps normal, elle aurait essayé d’approcher son oncle et d’essayer de le perturber, mais en voyant son index percuter silencieusement la couverture, elle décida de ne rien faire, d’attendre patiemment que celui-ci parle, même si c’était rare qu’il exprime ses pensées.
Ils étaient tranquillement installés dans la bibliothèque, un des pièces les plus vastes de la villa. En plus de posséder des grimoires renfermant mille et une merveilles, un piano à queue siégeait fièrement au centre de la pièce entouré de deux divans. Ce piano n’était pas le seul instrument de la demeure, il y avait une pièce où étaient rangés soigneusement plusieurs instruments de musique. Assise sur le siège, balançant avec nonchalance ses frêles jambes, la petite maîtresse de maison exécutait ses gammes comme le lui avait conseillé son tuteur avec une certaine fluidité dans le son même si dans quelques passages de petites imperfections s’y glissaient. La petite brune allait s’attaquer à ses morceaux tout comme son oncle allait chercher un autre roman que le carillon annonçant des visiteurs sonna. Le reflexe d’Alexeï fut le même que celui de son oncle, ils s’arrêtaient et tournaient la tête vers la fenêtre.
Un homme et un jeune garçon.
***
-Papa ! Lawrence ne veut pas cessé de m’embêter.
Possessive, elle avait cessé d’appeler son tuteur « mon oncle » pour « père », c’était ainsi depuis l’arrivée de Lawrence. Lawrence était venu vivre à Vienne dés la mort de sa mère, l’ex-femme de l’oncle d’Alexeï. C’est à ce moment que la demoiselle ressenti une grande jalousie à l’égard de ce grand frère, ainsi du jour au lendemain, elle se montrait particulièrement affectueuse, douce envers son « père », et abjecte avec ce frère de treize mois son aîné. Leur relation était plutôt celui de rivaux. Chacun essayait de surpasser l’autre afin d’obtenir les compliments du père ou bien voir l’autre se faire blâmer sévèrement ; à ce jeu tout les coups étaient permis. De plus ce petit jeu ne s’arrêtait pas qu’à la maison, Alexei étant né au début de l’année, elle se retrouvait dans la même classe que son frère, ainsi l’école était aussi un lieu où ils n’hésitaient pas à se donner bataille.
Alexeï était une jeune fille plutôt calme extérieurement, mais en vérité c’était un véritable cerveau alors que son frère lui était d’un caractère plus agité, plus rebelle et réfléchissait très peu avant d’agir. Leur caractère était parfaitement opposé tout comme leur physiologie. Mais malgré cela, même s’ils étaient toujours en confrontation, ils pouvaient devenir de vrais garnements pénibles dés qu’ils formaient une alliance.
Les deux enfants n’avaient jamais eu véritablement d’amis et ne pouvaient compter que sur l’autre. Car les déplacement d’oncle Nicolas faisait qu’ils le suivaient et changeait souvent d’établissement.
-Arrête de mentir, je voulais seulement qu’on prépare le duo de fin d’année.
-Il a été annulé, j’ai refusé de jouer surtout si c’est avec toi et ton violon détraqué.
-Et bien sache que…
Retour à la réalité.
Le requiem s’acheva, ses doigts tremblaient sur les touches du piano, la tête baissée nul ne pouvait voir son expression. Cela n’échappa pas à Lawrence, qui se leva et couru la prendre dans ses bras. Il n’était jamais bon de retenir ses larmes, et cela il le savait. C’est à cet instant qu’il se rendit compte à quel point sa sœur était maigre, fragile et délicate. En ce jour de deuil, elle avait vêtu sa robe rouge, un rouge intense qui se contrastait avec sa peau livide, pâle presque grisâtre sous l’éclairage faible. Lorsqu’elle remarqua les bras protecteurs de son bras l’entourant, elle rejeta cette étreinte et sécha d’un geste rapide ses larmes avant de se lever et saluer toutes les personnes venus pour l’enterrement. C’est ce qu’aurait voulu son père, elle était certaine, d’être forte jusqu’au bout…A bout de souffle elle tressaillit, et s’effondra sur le sol gelé de l’église.
Ses derniers souvenirs avant d’être passé de « l’autre côté » fut le visage inquiet et effrayé de son frère. Elle se souvenait qu’il l’avait porté dans une chambre et s’était absenté quelque minute pour aller chercher de l’eau. Mais le temps qu’il revienne, elle disparut.
▌Le joueur, derrière l’écran ;Pseudo: Mo'chan
Âge: 16 ans.
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