Ataraxia
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène.
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon EV6.5 : où trouver le ...
Voir le deal

Partagez | 
 

 Une course-poursuite [suite][Pv]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
{Peter Stark}
Terrien.
Terrien.
Peter Stark

Messages : 53
Date d'inscription : 16/03/2010
Age : 31
Localisation : Sur un tapis de Jogging

Feuille de personnage
Relations:
Inventaire:

Une course-poursuite [suite][Pv] _
MessageSujet: Une course-poursuite [suite][Pv]   Une course-poursuite [suite][Pv] EmptyDim 4 Avr - 19:05

    Peter c’était mit à courir une demi heure plus tôt. Cette teigne de Gamine qui lui servait de patron semblait l’avoir engager dans un défi… La retrouver… Tiens donc… Bien qui ne sache pas comment cette fille avait fait pour le semer, il se douter qu’elle devait être resté dans les quartiers de Némésis, cependant, comment savoir ou.
    Ainsi, le jeune homme dû chercher. Il commença par le quartier gouvernemental de la tour des cieux. La sécurité y étant très pointu, il fut poursuivi à plusieurs reprises par des modules de sécurité et des Soldats prés à en découdre. Après dix minutes de recherche intensive, Pete du se rendre a l’évidence, elle n’y était pas. Il se mit donc à semer les derniers modules de sécurité, fusant a travers la voie express. Il atteignit ainsi une vitesse de point qui lui permit de semer les modules. Quand il se rendit compte qu’il devait freiner…
    Peter fit volte face, sa vitesse l’entrainant toujours vers l’avant, il commença à courir vers l’arrière… Chose qui ne réussit que moyennement… Ainsi, il n’heurta le mur de la muraille « qu’a » 25km/h vitesse assez réduite heureusement… Le jeune homme ne s’était rien casser, cependant le choc le laissait assommer quelque minute. Le point positif, c’est qu’ainsi il arriva à la zone des Hangars… Zone droite avec des bâtiments carré ou on ne peut pas trop ce cacher derrière les boîtes de transport. Pete en fit vite le tour…
    Il ne restait maintenant plus que deux lieux, les quartiers d’habitations, qu’il avait quittés sans fouiller, et la zone industrielle.
    En réfléchissant, il se rendit compte qu’il y avait plus de chance pour que sa patronne soit dans les zones industrielles. En effet, la haute sécurité des installations sensible lui permettrait de mieux tester son voyageur… Quoi de mieux que des gardes armées, des détecteur thermiques et phoniques pour piéger quelqu’un ?
    Ainsi, après s’être remit du choc, il commença à se diriger vers la zones industrielles, se heurtant aux hautes barrières, Pete fit demi tour. Il avait de ce fait calculé son saut… S’éloignant de 1000mètres, le jeune homme courut. Atteignant la vitesse de 200km/h, avant de se projeter vers le haut à 100mètres de l’édifice. Pete avait sauté oui, mais pas au hasard. Il avait sauté devant un bâtiment, la vitesse cumuler a la force vers le haut le projetèrent jusqu’au toit du bâtiment, ou une réception en douceur était censé l’attendre…
    Mais voila, Pete avait toujours le même problème de freinage… Ainsi, en arrivant sur ses deux jambes la vitesse l’entraina vers l’avant… Il réitéra alors la manœuvre se projetant en arrière tandis que sa vitesse le pousser toujours plus loin sur le bâtiment… Sauf que contrairement a la route, le bâtiment s’arrêtait… Son corps, qui glissait sur le toit, cherchait désespérément une prise… Sa décélération l’aidant un peu… Mais pas assez.
    Son corps passa par-dessus le bord. Cependant, la vitesse avait suffisamment décrue. Il réussit a se rattrapé a un rebord. Ses avants bras avaient un peu souffert de… l’atterrissage. Cependant il était, comme toujours, entier…
    Le toit du bâtiment avait ça de positif, c’était qu’il n’était pas surveillé. Du moins en grande partie. Une sentinelle volante tournait sur elle-même, filmant le toit. Peter se remit sur le toit du bâtiment quand elle ne filmait pas dans sa direction. Pete se mit à tourner en rythme avec elle, toujours en restant dans l’angle mort. Il effectua ainsi la manœuvre deux ou trois fois avant de repérer un toit pas trop loin sur lequel il aurait pu sauter… Il se dirigea donc vers le bâtiment, ce désynchronisant avec la sentinelle… Il entra ainsi dans son champ. Celle-ci s’illumina en rouge en émettant un sifflement suraigu effroyable. Cependant, Peter eut le temps de sauter sur l’autre toit avant qu’elle ne s’active.
    La sentinelle l’avait ainsi bel et bien vue, mais, sans doute pour des raisons d’activations intempestives, elle avait activé un mode anti oiseau, pour ne pas s’activer totalement. Le but de ce système était d’empêcher des activations inutiles. Le bruit et la leur aurait fait fuir un oiseau, ainsi, comme l’appareil ne devait pas être équipé d’un analyseur d’image, Pete était passé pour un oiseau.
    Arrivant sur le toit voisin d’un saut relativement cours a 25km/h, mais qui faisaient quand même plus de 5métres, le jeune homme se mit à marcher tout droit, les genoux tremblants… Le visage en sueur et un peu en état de choc. Ainsi, il s’asseyant sur le rebord d’une excroissance, s’allongeant le temps de reprendre ses esprits. Dans sa position allongé, il remarqua au loin un éclair comme métallique, sans doute un morceau d’un engin quelconque… Très petit quand même l’engin, même au temps de la miniaturisation...
    Puis il se rappela son « défi » qui avait failli le tuer comme un moucherons qu’on écrase contre un pare brise… Retrouver la patronne… Qui avait disparu on ne sait comment. Ce qui était en soit assez compliquer… La fatigue accumulée par le jeune homme au fil de sa course, le motiva a allez voir de plus près.
    Sautant de toit en toit, d’immeuble en hangars, de strapontin en grue, le jeune homme réussit à atteindre l’éclair en 5 minutes. Il avait donc quitté sa patronne depuis 40 minutes
    L’éclair qui était parti, provenait semblait-il… hum et bien, des chaussures, de sa patronne. Lisbeth était assise sur le rebord d’un bâtiment, de drôles de chaussures au pied. Semblant attendre.
    Le jeune homme qui se trouvait sur un bâtiment a 10 mètres de là, se décida à approcher, ainsi il sauta quand soudain, c’est le drame, sont pied se pris dans un rebord, il effectua un vol planer et atterri, fort heureusement, sur le toit ou se trouvait Liz, ainsi, se relevant aussi dignement que faire ce peu le jeune homme s’approcha et lui parla :

    -Hum… Trouvé ? C’est vous le chat ? Mais, si je puis me permettre, j’ai fait cette chasse a l’homme pourquoi ?

    Peter ne comprenait vraiment pas ou voulait en venir cette fille. Les course c’était son truc, son organisme était fait pour, cependant, son ventre se mit à gargouiller comme pour réclamer… Courir lui faisait toujours consommer des calories… Aussi, il sortit de son sac une espèce de cube bleuâtre de 3x3 cm, c’était une des inventions super, hyper, méga géniale de Némésis. Ce… truc, était censé être un repas. Sans ce soucié du goût, il le goba, sentant une sensation de rassasiement dans son estomac. Au moins, c’était efficace.

    -Vous souhaitez me communiquer vôtre emploi du temps d’ici combien de temps ? J’entrerais réellement à vôtre service à ce moment…

    Puis se rendant compte qu’elle risquait de mal interpréter :

    -Mais n’essayer pas « d’oublier » pour que je vous laisse tranquille… Cela ne me plait pas plus qu’à vous mais maintenant je suis censé vous suivre comme vôtre ombre…

    Peter savait qu’il était maintenant lié à la jeune femme. Mais il ne comprenait réellement pas ou elle voulait en venir… Une course en patin ? Des missions ? Que voulait-elle ?
Revenir en haut Aller en bas
{Lizbeth Weader}

Lizbeth Weader

Messages : 23
Date d'inscription : 31/03/2010
Age : 31

Feuille de personnage
Relations:
Inventaire:

Une course-poursuite [suite][Pv] _
MessageSujet: Re: Une course-poursuite [suite][Pv]   Une course-poursuite [suite][Pv] EmptyMar 13 Avr - 0:06

    Glisser, voler, rouler, peu importait tant qu’elle pouvait ressentir le vent lui fouetter le visage avec cette insistance qui lui était propre. La jeune femme fendait l’air de la ville comme si les passants et leur traintrain de vie quotidien n’avaient jamais existé, ses vêtements suivant les mouvements des courbes ou des sauts qu’elle réalisait sans interruption. Cette sensation grisante perdura jusque dans les hauteurs du quartier Némésis où les sons familiers des usines peu engageantes se laissaient entendre. C’était pourtant là que Lizbeth souhaitait aller sans doute possible puisqu’elle s’engouffra directement dans une ruelle où elle pu prendre appui sur un mur au renfoncement bancal pour sauter. Ni l’explosion pas si lointaine ni les débris ne semblaient altérer sa course folle contre un adversaire qui n’existait pas. Et pour cause, alentour, qu’y avait-il donc qu’elle et…son ombre. Peut-être l’aurait-on d’ailleurs prise pour une folle si quelqu’un avait rapporté ce qu’elle faisait en ce moment :

    « 504…505…506… »

    En effet, Lizbeth comptait à voix haute depuis son départ, à défaut d’avoir prit un robot avec elle. ‘Il voulait voir s’envoler les minutes’ disait une chanson bien connue, elle voulait seulement laisser défiler les secondes afin de tester de façon simple les capacités de ce cher Peter. Avoir la capacité de courir à une vitesse non répertoriée par un quelconque radar nouvelle génération ne faisait pas tout, encore fallait-il qu’il sache courir…et s’orienter. Ce terrain avait beau être parfait pour vérifier ces dires, Lizzie ne l’avait pas choisi seulement pour cela. Mais, il le découvrirait bien assez vite.

    En attendant, ses bijous de technologie moderne l’avaient porté jusqu’au rebord de l’immeuble convoité, juste au-dessus de toutes ces machines en ferrailles qui donnaient tout son cachet à la zone. Sans gêne aucune, Lizbeth s’était assise là, prenant ses aises aussi bien qu’une lady s’accommodant pour son thé, à un détail près, la jeune femme se contentait de compter.

    Lorsque le jeune homme arriva, se vautrant presque à ses pieds d’ailleurs au lieu de se tenir debout en face d’elle comme tout individu normalement constitué, elle se contenta pourtant de l’observer vaguement cessant son décompte. Elle ignora ostensiblement sa question qui manifestement n’en était pas une, le regardant de haut au sens propre du terme. Et, si son visage n’exprimait aucun sourire, le ton de sa voix trahissait un semi amusement froid.

    « Ce n’est pas parce que tu es censée passer sous mes ordres que tu dois te sentir obligé de m’embrasser les pieds tu sais… »

    Un instant de flottement, alors qu’en quelques secondes son cerveau reconvertissait les secondes écoulés en un barème qui lui était propre afin de juger son temps. Finalement, la svelte silhouette sauta de son perchoir, atterrissant lestement devant son interlocuteur aux jambes en or. Elle ne s’y arrêta pas pour autant, roulant tranquillement jusqu’à l’opposée de la corniche avant de lancer par-dessus son épaule :

    « Trop lent… »
    Parmi le crépitement des machines, des bruits de pas se firent soudainement entendre, de plus en plus précisément, alors que deux voix tentaient de les couvrir. Elles s’entremêlaient, discutant propos d’une certaine pompe défaillante et, effectivement, un son peu rassurant provenant d’un peu en dessous d’eux se laissa entrapercevoir.
    L’armée de défense qui venait réaliser quelques vérifications d’usage pour assurer la sécurité de tout un chacun probablement. Lizbeth n’avait pas vraiment envie de le vérifier après tout, étant donné qu’elle n’aurait pas du être ici. Alors, elle attendit en se taisant, sans bouger au cas où les roues crisseraient bêtement et la trahiraient. Ce serait un comble…un peu comme d’imaginer votre petite amie vous tromper avec un gamin que vous méprisez.

    Qui a dit que les grands fils de barbelés électriques servaient à dissuader les braves jeunes filles afin qu’elle passe leur route pour aller cueillir des coquelicots dans un champs avoisinant? Ils auraient tout aussi bien pu mettre à la place des écriteaux lumineux de couleur rouge indiquant qu’il y avait par ici des matériaux plus ou moins en vente libre pour les audacieux après tout… l’effet aurait été le même sur Liz en tout cas.

    Sans plus de bruit qu’avant, les deux hommes étant (normalement) partis, Lizbeth se laissa glisser là, non pas par-dessus la corniche comme on aurait pu le penser de loin, mais plus loin, dans le trou qu’elle avait repéré il y avait de cela des années et qui amenait, si tant est que l’on sache se réceptionner convenablement, dans une sale de production complète. Elle se doutait fortement que Peter n’aurait aucun mal à la suivre, sinon, tan pis pour lui.

    « On va jouer à cache-cache finalement… » dit-elle tranquillement, plus doucement que tout à l’heure, s’adressant plus à elle-même qu’au jeune homme alors que ses yeux parcouraient déjà le hangar.

    Et c’était les messieurs là-bas qui s’étaient portés volontaires pour compter. Fort aimable à eux n’est-ce pas ?
    Elle glissa doucement, cherchant vers où passer. Il y avait un certain temps qu’elle n’était pas venu, les clients s’arrangeant pour faire venir le matériel s’il le pouvait car ils savaient bien que les frais seraient un peu plus arrondis dans le cas contraire. Du verre s’éparpillait sur le sol mal nettoyé. Elle manqua de tomber une ou deux fois, mais refusa par égo de demander de l’aide et choisit de tenter de les esquiver au maximum. Ils arrivèrent ainsi dans une seconde salle où Lizbeth s’expliqua…enfin, juste au cas où il soit un peu long à la détente et n’aurait pas compris.

    « J’aurais besoin d’un certain matériel…que l’on ne trouve qu’ici, et à un prix trop élevé sur le marché. Tu te sens de suivre malgré tout ? »

    Un léger regard en coin, non pas qu’elle se soucie vraiment de lui, mais plutôt pour savoir ce qu’il comptait faire. S’il rechignait devant ce genre de petits travaux anodins, ils n’étaient pas sortis de l’auberge, c’était certain. D’un ton plus faible que la fois d’avant, elle reprit, peut-être pour lui montrer qu’elle pouvait aussi faire un petit effort :

    « Je demanderai à Weelo de te faire parvenir mon agenda… »

    Un haussement d’épaule, et la jeune fille passa sous une rambarde…Au moment où un bruit douteux se faisait entendre.

    Gardes qui revenaient à la charge ? Crissement sur un matériau non identifié ? Eternuement d’une bête des usines ? Déchirement de vêtements ? Son corps s’était légèrement crispé, pas vraiment de peur, plutôt d’une appréhension sourde face à l’inconnu.
Revenir en haut Aller en bas
 

Une course-poursuite [suite][Pv]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ataraxia :: Quartier du clan Némésis (Nord) :: Zone industrielle-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit