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 Lizbeth [terminée]

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AuteurMessage
{Lizbeth Weader}

Lizbeth Weader

Messages : 23
Date d'inscription : 31/03/2010
Age : 31

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Lizbeth [terminée] _
MessageSujet: Lizbeth [terminée]   Lizbeth [terminée] EmptyMer 31 Mar - 21:56

Lizbeth Weader
geekette à ses heures non-perdues





    ▌Fiche de Présentation ;
    Nom: Weader, ce n'est pas mon véritable nom mais étant donné que mes origines sont restées dans le brouillard mais, faites tout comme.
    Prénom:Lizbeth, néanmoins, peu de personnes l’utilise étant donné que je ne l’aime pas plus que ça. Les quelques rares personnes que je côtoie m’appelle Liz’, pensant qu’il s’agit probablement de mon véritable prénom. Les autres se contentent de « hey toi », ou « hey la miss ».
    Sexe:Féminin, aux dernières nouvelles. Et, ce n’est pas parce que je n’exhibe pas des atouts naturels plus ou moins développés qu’il faut en douter…
    Âge:20 ans
    Date de naissance : 4 avril, date de son arrivée dans la famille.
    Lieu de naissance: inconnu, donc par défaut, on supposera qu’il s’agit des quartiers nords.
    Clan : Nemesis
    Capacité & limite:Si savoir réparer presque tout et n’importe quoi avait été une capacité innée, peut-être aurais-je pu être voyageuse, mais, ce que l’on a, on travaille pour l’acquérir alors les limites, ce sont celles que nous nous fixons. C’est beau ce que je dis, n’est ce pas ? Si seulement je le pensais….
    Groupe :moyenne classe à la base.


    Caractéristiques;


    Description physique:
    « Mignonne allons voir si la rose… »
    La miss Lizbeth, ses parents avaient bien essayé de la vendre à un bon prix mais, apparemment, la mode était aux blondes décolorées aux formes parfaites bien qu’un brin robotiques.
    Or, les robots, elle les créait plus qu’elle n’en faisait parti.

    Alors le miroir ne lui renvoyait qu’elle, enfin, une image d’elle lorsqu’elle se regardait vaguement dans les matériaux qu’elle embellissait d’un coup de gel nettoyant. L’image donnée aurait presque pu être mignonne si l’on excluait le fait que sa peau blanche qui ne devait pas souvent voir le soleil, s’imprégnait toujours de tout ce qui pouvait traîner autour d’elle. Il s’agissait malheureusement souvent de poussière ou de dépôts en tout genre, néanmoins, cela avait le mérite certain de la colorer un peu.

    Après tout, ce n’était pas cette masse informe souvent coiffée du bout des doigts qui allait s’en charger. Le commun des mortels prénommait cette chose chevelure. Liz’ se contentait de ne pas la prénommer, et d’attacher ses boucles naturelles d’un noir de cendre lorsqu’elle travaillait. Les lisser selon une quelconque mode n’était pas dans ses habitudes, et probablement ne le serait-elle jamais. Dommage d’un certain point de vue car les mèches rebelles cachaient régulièrement ses yeux aux multiples reflets. Non pas qu’ils avaient des teintes étranges que l’on pourrait s’amuser avec une âme de poète peu loquace à comparer à des joyaux-importés-d’Asie-où-une-fée-penchée-sur-son-berceau-avait-entraperçu-la-prairie-des-bisounours-albinos….histoire de leur donner un semblant de charme. Plutôt que la plupart des expressions de son visage était retranscrites dans ses yeux et que les prunelles d’un bleu sombre, assez banales, de Lizbeth pouvaient aisément s’animer de lueurs de curiosité ou de joie à l’état pure.

    Malheureusement, ce genre d’humeur la prenait souvent lorsqu’elle était seule à ‘jouer’ dans son coin et qu’il ne valait mieux pas la déranger à moins de tenter de chercher à s’acclimater à d’autres formes d’émotions moins agréables.

    Ce type de particularités permettait sans doute de contrebalancer avec la simplicité de son style. Ainsi, il me serait bien inutile de vous indiquez ses mensurations car avec les tenues qu’elle avait l’habitude de porter, celle-ci semblaient bien changé. En soit, rien de bien transcendant. Le sport régulier qu’elle pratiquait inconsciemment lui permettait de conserver une musculature légère, sans qu’elle n’ait besoin d’envier des formes plus développer. Après tout, pour discuter avec des machines, un look même un peu garçonne, confortable et pratique, suffisait.

    « …n’a pas viré au noir cambouis. »

    Particularité physique:
    « Les rumeurs prônent au tatouage caché…Ai-je tant l’air d’une rebelle que cela ou n’ont il rien d’autres comme sujet de commérage ? »

    En réalité, au creux de son cou, camouflé par sa chevelure, un chiffre calligraphié étrangement se démarque le « 11 ». Mais jamais ne le verrez vous probablement…

    Armes: j’ai une clé à molette, et je n’hésiterai pas à m’en servir…

    Description moral: L’homme, ce n’est pas le triomphe de la mécanique ; c’est l’avènement de la liberté...
    Plisnier.

    Dans une pièce éclairée seulement par une lampe à la lumière incandescente étrange, s’activait une jeune femme dont le visage était légèrement sali par la poussière environnante. Le ménage n’avait pas été fait depuis un certain temps dans la pièce, ne l’avait-il jamais été d’ailleurs ?

    Néanmoins, cela ne semblait pas déranger cette ombre qui continuait de s’activer sur ce qui semblait être le bras du robot posé un peu plus loin. Avec une minutie presque effrayante, la jeune femme s’appliquait à insérer une caméra invisible à l’œil nu. Probablement les lunettes qu’elle portait alors servait-elle à cela. Elle les ôta finalement, observant méthodiquement la structure de l’appareil qu’elle venait de démonter entièrement afin d’en saisir le fonctionnement exacte. Puis, alors que sa main droite se préparait à appuyer sur le pouce de la « main électronique », celle encore libre chercha à tâtons la clé à molette dans la poche de sa salopette. L’engin s’activa, se traînant tout d’abord légèrement sur la table. Sans plus de cérémonie, Liz’ frappa un coup sec et bruyant sur la table, et, la réaction espérée ne se fit pas attendre : la main se recroquevilla sur elle-même en une sphère parfaitement ronde et impénétrable. Parfait.

    Parfait, elle allait pouvoir être payée. D’ailleurs, sans plus attendre, laissant la chose en mode bouboule, la demoiselle tira de nulle part un agenda électronique sans support où elle ajusta tactilement la calculatrice. Si elle donnait 2% à ses parents de ce qu’elle gagnait ici, et qu’elle laissait encore 1,4% de côté pour le gourvenement, ceux là la laisserait tranquille. Ainsi, cela lui permettrait de dépenser 30% et de garder le reste.

    Lizzy ne savait pas vraiment pour qui était ce qu’elle venait de traficoter. A vrai dire, elle s’en fichait bien. Cela aurait pu être pour le roi ou, au contraire, un membre de la pseudo-rebellion, du moment qu’il avait de quoi payer, cela lui convenait. Elle aurait même été capable de changer ses plans si quelqu’un d’autre offrant plus que le client le lui avait demandé…

    Il fallait la comprendre aussi. Cet argent, c’était un investissement après tout. Alors, ne soyez pas si radin et ne regardez donc pas les prix, parfois exorbitants avouons le bien mais il faut ce qu’il faut, auquel la némesis vend son talent.

    Tout ceci dans un seul et unique but qui lui prenait la quasi-totalité de son temps libre : s’acheter de nouveaux matériaux afin d’améliorer ses AS. Petits engins ayant plus ou moins l’apparence de patins à quatre roues, ceux-ci sont dotés d’un puissant moteur qui permet de booster sa vitesse et, lorsque l’on sait s’en servir, de voler de courts instants.

    La paire dont elle usait le plus souvent était soigneusement rangée loin des regards indiscrets. Probablement la mettrait-elle plus tard, lorsqu’elle sortirait. Les sensations étaient si grisantes, si uniques, si..si…impossible à expliquer en quelques mots. D’ailleurs, si vous avez du temps à perdre, demandez lui donc comment fonctionne ces machines-ci. Lizbeth sera (un peu trop) ravie de vous l’expliquez. Peut-être aurez-vous plus de mal à l’arrêter en revanche. Mais, étant donné qu’il s’agit du peu de moment où elle parle autant, on peut le lui pardonner n’est ce pas ?
    Néanmoins, à force d’être passionnée, le carnet d’adresse de ses « amis » n’était guère, voir pas du tout fourni. Habituellement, les amitiés se tissent à l’enfance ou à l’adolescence. Mais Liz’ avait sauté en parti cette étape, préférant jouer les geekettes démontant tout objet électronique à sa portée « pour voir ». Au fil des années, cette façon de procéder n’avait guère évolué et au fur et à mesure, elle du bien admettre que les machines la divertissaient même parfois bien plus que les humains, ‘parfois’ étant même un euphémisme. Etait-ce de sa faute si elle favorisait la science aux humains ? Il ne servait pas à cela d’ailleurs, lui permettre de prendre note de ce qu’un humain anormal pouvait faire afin de mieux le reproduire ? Mais, alors, il ne servait à rien ! Sauf peut-être à subir quelques remarques s’il avait le malheur de venir l’embêter… Un chouilla cynique, lorsque vous ne parlez pas de ses bijoux préférés, Liz ne mâche pas les quelques mots qu’elle dit.

    "Que l’on se le dise, si cela me permet d’avancer dans mes recherches, il peut bien souffrir et être un peu utile."

    Qualités:passionnée, calme, débrouillarde, franche
    Défauts: misanthrope parait-il, radine, cynique, vénale

    ▌Relations & autres ;
    Rêves, ambitions: Toucher les nuages ?
    Relations: Amis et ennemis, la liste se ressemble beaucoup dans son vide flagrant. Liz possède des relations, des connaissances au près des némésis ou de ses clients, mais, cela s’arrête là.
    Du coté de sa famille, on pourrait noter Catharina, dont le nom est inconu même de sa propre fille. Catin de luxe si l’on puit dire, maitresse délicate, Liz ne la connaît pas, et ne la connaîtra sans doute jamais.
    Son père et sa mère adoptifs font partis des rares personnes avec qui Lizbeth entretient une véritable relation. Elle les apprécie, les respecte, mais, aime encore mieux sa liberté nouvellement aquise.

    Que pense votre personnage au sujet de ;
      La famille royale : Ils gouvernent et ont (normalement) de l’argent. De là à en penser quelque chose…Ce n’est pas comme si elle s’intéressait sérieusement à la politique.
      Les différents clans : Nemesis étant le sien, Liz devrait y être plus attachée que les autres. Et pourtant, la seule chose qu’il y intéresse vraiment reste la facilité à pouvoir créer et exercer son « art » que les autres ne lui offrent pas (encore).


    ▌Passé, présent, une histoire;
    Un roi est connu pour ses conquêtes, pour ses sujets, pour son royaume. Cependant, malgré toutes les rumeurs qui peuvent circuler à son propos, il est aussi dit que derrière chaque grand homme se cache une femme.

    Catharina se cachait dans l’ombre de cet homme, mais, n’avait aucun pouvoir sur lui si ce n’était celui d’avoir été assez à son goût pour qu’il l’accepte dans sa demeure. Devenue la favorite du roi, Catharina jouissait de nombreux privilèges dont celui de pouvoir vivre sans se faire de souci pour son avenir. Tout du moins, cela avait-il été le cas jusqu’à ce qu’elle tombe enceinte. Le risque de perdre son titre de favorite était bien trop grand. Alors, cette femme décida de quitter pour quelques mois la demeure principale du roi prétextant mille et un détails pour qu’il ne s’aperçoive de rien.

    Et, ce fut ainsi que naquit la petite Lizbeth. Bien que cette partie de sa vie resta assez sombre, il était certain que ce fut à ce moment là que le « tatouage » était apparu, alors que les cheveux de la petite ne pouvaient pas encore le recouvrir, même partiellement. Ce tatouage ressemblait trait pour trait à la bague que cette femme gardait sur elle, un chiffre « porte bonheur » en plus. Une bague cela se perd, cela s’oublie, cela se vole. Un tatouage est difficilement camouflable, mais tout aussi durement exterminable. Néanmoins, pour un temps tout du moins, jamais ne devait-elle avoir à en user. Personne ne devait même en connaître l’existence. Qui sait ce que cela pourrait engendrer comme problèmes pour cet enfant ou même pour elle?

    On retrouva la trace de l’enfant alors qu’elle n’est pas âgée d’un an. Le bébé ayant été apparemment déposé accompagné de divers autres choses dans un couffin au près d’une famille de moyenne classe qui ne pouvait avoir d’enfant. Catharina les connaissait-elle ? L’avait-elle su d’une quelconque manière ? Personne n’aurait pu répondre à cette question maintenant qu’elle avait disparu loin des regards indiscrets. Ce que l’on pouvait affirmer fu néanmoins que la mère originelle ne s’était pas trompée et Lizbeth fut élevée comme leur propre enfant, n’ayant jamais à se plaindre de quoi que ce soit. Elle n’eut jamais de mort traumatisante dans sa famille, de frère caché, ou de petit ami violent, pas plus que de méchante marâtre. Sa vie était simple en somme.

    Ils ne lui cachèrent pas qu’elle avait été adopté, car, ce fut son cadeau d’anniversaire : apprendre les circonstances plus ou moins exactes de sa « naissance ». Lizzy s’était alors contentée d’hocher les épaules, les rassurant d’une parole simple :
    « C’est vous mes parents. »
    Et, si eux furent émis au point de ne pouvoir verser même une larme de joie, la petite se contenta de se laisser câliner en se demandant si demain son père l’emmènerait quand même à son travail étant donné qu’elle n’avait pas école. Celui-ci possédait une entreprise modeste d’électronique et depuis la première fois qu’elle s’y était rendue, Liz ne se lassait pas de contempler les divers bijoux que l’on apportait à son père. A ce moment là, il était particulier, fort, grand, tel un modèle et plus tard elle aussi elle serait capable de réparer les cœurs des machines. Une idée bien idiote comme elle s’en apercevrait plus tard, mais pour une mentalité de fillette de cinq ans, c’était déjà plutôt honorable non ?

    Son second rêve, elle ne savait plus très bien lorsqu’il lui avait pris. Probablement en regardant une autre des machines du bureau, comme elle le faisait si souvent. Plus rationnel dans un certain sens, Lizbeth racontait à qui voulait l’entendre qu’un jour, elle vivrait dans les airs. Ses camarades ne la comprenaient pas. Mais, la petite s’en fichait bien. Tout leur jeu lui était égal tant qu’elle pouvait s’amuser dans son coin, monter-démonter puis recommencer encore et encore.

    A ses dix-sept ans exactement, la jeune fille quitta la demeure familiale pour partir en quête de plus de liberté. Bien entendu, Liz aimait ses parents, bien entendu, ceux-ci l’auraient bien gardé un peu plus longtemps. Mais, ce n’était pas son but et jamais n’arriverait-elle à évoluer ainsi. Sa passion pour les nuages s’était petit à petit mutée pour son amour inconditionné pour la glisse en haute voltige, celle pour l’électronique était restée et elle avait bien décidé d’en faire son métier. D’un côté, à force de toujours vouloir en savoir plus sur chaque chose et d’inventer, l’élève avait dépassé le maître jusqu’à se faire un petit nom chez les enfants que l’on gardait à l’œil. Et, Liz savait qu’elle n’avait plus rien à apprendre au près de son père.

    Quelques années passèrent ainsi, le bouche à oreille faisant son effet…Ses vingt ans arrièrent, et les nouvelles galères aussi.



    ▌Le joueur, derrière l’écran ;
    Pseudo: Yukiyouk… même plus besoin de le cacher tellement c’est grillé depuis longtemps. TT’
    Âge: entre 7 et 77 ans…
    Comment avez-vous connu le forum ?Je ne ferais aucun commentaire là-dessus…
    Que pensez-vous du forum ? compliqué, bon niveau, joueurs (malheureusement) attachant…enfin, je suppose ?
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{Matthew Khan Hortsman}
Admin
Matthew Khan Hortsman

Messages : 150
Date d'inscription : 10/09/2009

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Lizbeth [terminée] _
MessageSujet: Re: Lizbeth [terminée]   Lizbeth [terminée] EmptyVen 2 Avr - 22:08

Bon rien à redire, je valide!

Bon rp parmis nous
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Lizbeth [terminée]

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