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Nous croyons conduire le destin, mais c'est toujours lui qui nous mène.
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| Quartier Civil (Sud) | Sujets | Messages | Derniers Messages |
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 | Sud d’Ataraxia : Dédain des clans qui appellent ses habitants la « populace », la Zone haute est pourtant loin d’être pauvre et accessible à tout le monde. Proche des bâtiments administratifs cette partie d’Ataraxia se caractérise par des rues droites et des lieux bien délimités qui s’inspirent de l’architecture des clans et de leur qualité. École, villa, parc d’une propreté loin d’être naturelle, c’est un lieu où il fait bon vivre quand le temps le permet. Mais derrière cette image qui se veut si lumineuse, y aurait il une maladie qui se cache dans ses entrailles ?
La Rue Dorée, La Rue Rose, La Rue Bleue | 1 | 8 | Sam 12 Juin - 10:50
Morgan Faust  | | A première vue voilà un bout de terre sans grand intérêt coincé entre le grand désert qui s’insinue dans ses rues et un bras de rivière glacé. Cette opinion se confirme une fois à l’intérieur de ses rues bien souvent silencieuses et endormies. Il faut attendre les débuts et fins de journée pour voir de l’animation dans ces rues qui s’emplissent de bruits étouffés, de quelques éclats de voix et d’ombres mouvantes qui s’engouffrent ou sortent des profondeurs de la « Gare ». C’est durant ces périodes que ses habitants, fonctionnaires en majorité, circulent pour se rendre en zone administrative ou pour rentrer chez eux, traversant une brume fine qui ne quitte jamais la place. En effet les brusques écarts de température que subit ce lieu provoque un phénomène unique sur Ataraxia, un brouillard constant et épais qui vient napper chaque coin et recoin de la zone médiane, la plongeant dans un univers étrange et quasi onirique où le soleil ne fait que de rares éclaircies.
Immeubles d'Habitation, Ecole mixte, zone basse et médiane, La Gare | 0 | 0 | | | L’extrême Sud est indescriptible et synonyme d’enfer pour les habitants d’Ataraxia. En constant changement à causes des aléas de la météo et des attaques des monstres de Khalis qui viennent s’y abattre et au fur et à mesure que les révolutions et la violence embrasent cette zone où rien ne résiste bien longtemps. Oui, quand on voit les bagarres de gang et la violence omniprésente, la pauvreté et la haine, la Zone basse pourrait être un enfer où tente de survivre désespérément une population pauvre et oubliée par le gouvernement, sauf durant les politiques de grands travaux bien sûr.
La Rue Rouge, Le Grand Désert, La Fosse | 2 | 21 | Dim 13 Juin - 1:51
Ismael Arundhati |
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